• Poèmes d'amour, 2012 - 2013

    Tes yeux s'évadant dans la pâleur du jour,
    De la couleur de la nuit profonde et sans lune,
    Tes cheveux parsemés d'une myriade de reflets dorés,
    Tes mains douces comme la caresse d'un rayon de soleil,
    Je t'aime comme jamais je n'ai aimé.
    Mon cœur lourd s'envole lorsque ton regard pénétrant s'enfonce dans le mien,
    Et tes pommettes de la couleur du matin ont éclairé ma vie.
    Remplie d'amour lorsque je te vois,
    Ta beauté intérieure me transperce telle une douce musique saupoudrée de beaucoup de joie.
    En quelques mots, je te l'annonce, mon cœur est tien.
    Ma vie tu as changé,
    Et je glisse sur un tapis d'amour,
    Depuis que mes yeux ont croisé les tiens.

    Je retiens l'irrésistible envie de toucher tes cheveux bruns,
    D'effleurer ton cou de mes mains,
    De serrer ton corps contre le mien;
    Car tu n'es pas pour moi;
    Tu ne vivras jamais dans mes bras,
    Tu ne suivras pas mes pas,
    Jamais tu ne m'embrasseras,
    Car toi et moi, cela n'existe pas.
    Et pourtant...
    Ta peau qui m'envoûte,
    Ton sourire qui m'ensorcèle,
    Ton charme qui me consume...
    Certains plaisirs sont impossibles,
    Mais je te désire, tu es ma cible.
    Je me meurs sans ta présence,
    Et ta parole me met en transe,
    Ton nom sur ma langue a un goût merveilleux,
    Ces cinq lettres que je prononce avec tant d'amour,
    Car ton souffle m'est si précieux,
    Que je t'aimerai toujours.

    Depuis que je te connais, ma vie n'est qu'illusion
    Je vis sur un tapis de secrets ,
    Que je brûle toujours plus de ma passion...
    Rends-moi mon cœur!
    Sans lui, je ne peux vivre.
    Rends moi l'amour que je t'ai offert,
    Et que tu as lourdement enchaîné de ta haine!
    Ne me torture plus, je suis à bout de force.
    Car chaque jour, mon amour pour toi se renforce.
    Tu m'attires vers un gouffre,
    Sans savoir combien je souffre.
    Tu gardes égoïstement une chose qui ne t'appartient pas,
    Un long fleuve d'amour que je t'ai proposé du bout des doigts.
    A ton approche, je l'entends qui soupire.
    Tu gardes deux cœurs, et je risque de mourir.
    L'un est de pierre solide,
    L'autre, abandonné, comme une rivière se vide.
    Je n'ai qu'un seul désir, je n'ai qu'un seul souhait,
    Laisse-moi aimer en paix,
    Pour que je cesse de souffrir.


  • Commentaires

    1
    Samedi 28 Juin 2014 à 11:51

    Ca me fait penser au gars que j'aime, mais qui malheureusement ne m'aimera jamais.

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